Publications

En territoire féministe : regards et relectures

Printemps 2012, Numéro 15

Qu’ils traitent de sexualité, de maternité, qu’ils s’intéressent aux multiples manières de construire le féminin, qu’ils montrent comment la littérature permet de déjouer des rapports de hiérarchie et de division, les textes rassemblés pour ce quinzième numéro regardent et relisent diverses œuvres à l’aune d’une autre grille, toujours nécessaire nous semble-t-il.

Vieillesse et passage du temps

Numéro 14, Automne 2011

Le chemin de la vie, s’il n’est pas abruptement interrompu par la maladie ou par un accident, s’achève immanquablement avec la vieillesse. Celle-ci est une tare que la médecine s’attache à rendre toujours plus lointaine et que la chirurgie esthétique tente désespérément de masquer. Il apparaît intéressant de voir comment l’accession à la vieillesse est figurée dans la littérature; la sénescence fait sans conteste partie de l’imaginaire littéraire.

Interdisciplinarités / Penser la bibliothèque

Printemps 2011, Numéro 13

Ce numéro de Postures comprend les actes du colloque des jeunes chercheurs de l'AECSEL de mars 2010 portant sur l'indiscipline, ainsi qu'un riche dossier intitulé « lieu et non-lieu du livre : penser la bibliothèque ». 

Post -

Automne 2010, Numéro 12

Sommes-nous dans l’après? L’impression répandue que tout est terminé, que le présent n’est qu’un vaste lendemain de veille, impression qui a dominé les décennies 1980 et 1990, a-t-elle laissé sa place à un nouvel optimisme? Le pessimisme fin de siècle et la pensée no future a-t-il cédé aux promesses d’un nouveau millénaire? Le numéro 12 de Postures propose d’aborder, non pas un concept ni un thème, mais un préfixe: «post-».

Utopie/Dystopie: entre imaginaire et réalité

Printemps 2010, Hors série 02

Depuis son apparition chez Thomas More, l’utopie a revêtu bien des formes, subi bien des changements. Des précurseurs que sont Platon et Aristote aux grands utopistes qu’ont été Rabelais, Francis Bacon, Voltaire ou Charles Fourier, pour n’en nommer que quelques-uns, la littérature et la philosophie ont fourni plus d’une occasion de réfléchir au meilleur des mondes.

Écrire (sur) la marge : folie et littérature

Printemps 2009, Numéro 11

Le fou investit la marge, s’agite dans les espaces limites, parle un discours en rupture avec la norme. Son histoire s’écrit à partir des frontières et des seuils, parce qu’elle se tient, comme le dit Foucault, au-delà du partage. Le fou ne voit pas le monde comme il devrait le voir et, bien souvent, joue le rôle ingrat, bien que nécessaire, de bouc émissaire.

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